Je plaide pour faire converger nos taux de reconnaissance : deux demandeurs d'asile afghans sur trois reçoivent un statut en France, moins d'un sur deux en Allemagne, un sur trois en Suède. Rien ne justifie que des États de droit, des démocraties appliquant les mêmes textes internationaux et européens, arrivent à des résultats si divergents.