Comme cela a été rappelé, ce choix a permis de doubler et parfois même de tripler les cours de français proposés aux étrangers qui viennent d'arriver, de financer de la formation civique et professionnelle et de créer une délégation interministérielle pour l'intégration des réfugiés. C'est un changement de paradigme majeur, puisque le précédent gouvernement avait été jusqu'à faire disparaître le mot « intégration » des politiques publiques, niant ainsi le besoin d'accompagnement et d'orientation de ceux qui arrivent sur notre territoire.