Mais, plus largement, nous devons changer de posture : l'immigration est vue souvent dans notre pays comme un devoir, qu'il s'agisse d'un devoir d'humanité ou d'un devoir au regard du regroupement familial, et donc vécue comme un fardeau, alors que nous devons en faire une opportunité. Ce changement de posture ne se fera certes pas sans effort, mais nous ne devons plus subir l'immigration : il faut en devenir un acteur. La loi asile et immigration a déjà intégré les propositions d'Aurélien Taché. Nous devons aller plus loin. Ainsi, aujourd'hui, une entreprise est taxée à hauteur de 750 euros pour embaucher un migrant qui toucherait le SMIC : est-ce normal ?