c'est le moins que l'on puisse dire. Lorsque l'on évoque les politiques migratoires, on constate des désaccords très forts – ils sont évidemment légitimes, il est bon qu'ils soient formulés, et je ne veux pas caricaturer les choses en disant cela – entre ceux qui pensent que la submersion serait à l'oeuvre et qu'il convient par tous les moyens de l'arrêter, et ceux qui pensent que l'immigration est une donnée qu'il faut accepter, voire encourager, pour, en tous les cas, faire en sorte qu'elle se déroule correctement.