Que l'on se place à l'extrême droite ou à l'extrême gauche de cet hémicycle, personne n'imagine un instant que nous vivrions une période temporaire, à l'issue duquel la pression migratoire aurait vocation à disparaître. Personne ne l'a dit : c'est un élément de consensus, même s'il ne signifie pas que nous en tirons tous les mêmes conclusions.