Je devrai malheureusement être très rapide, en raison du temps législatif programmé qui escamote ce très beau débat.
Je voudrais tout d'abord demander à certains de nos collègues de faire attention aux mots qu'ils utilisent, car ceux-ci peuvent blesser – même si c'est certainement involontaire. Que l'on parle de la gémellité comme d'un risque et du handicap comme une cause de divorce, je ne peux pas l'accepter.