Je répondrai donc oui pour la qualité de l'information donnée, oui pour la compréhension des enjeux, oui pour le consentement qui doit être éclairé et se trouve au coeur de la relation entre le patient et le médecin – et plus généralement, de l'ensemble des professionnels dans l'exercice de leur métier.
Finalement, l'accès aux DPI, dès lors que l'information et le consentement sont acquis, pose la question de l'autonomie des citoyens. Ces amendements, et les suivants, ne tendent qu'à accompagner les professionnels et les patients dans leur liberté croissante de choix pour aller du hasard des probables au choix des possibles.