Je serai rapide, mais je tiens à dire à mes collègues que je suis très mal à l'aise devant le débat qui s'instaure. Pour moi, il n'était pas à l'ordre du jour de savoir si on devait, ou non, accepter le handicap. Les enfants porteurs de handicap ont, bien évidemment, le droit de vivre, d'être heureux, de sourire, d'être aimés : ce n'est pas le sujet ! Pour moi, qui ne suis ni médecin, ni chercheur, il s'agissait de savoir s'il était possible de permettre aux femmes...