Nous nous rejoignons sur l'essentiel, monsieur Gérard : rendre possible la procréation postérieurement à un traitement affectant la fertilité. C'est bien la principale finalité du dispositif dont nous discutons, mais ce n'est pas la seule. En effet, il s'agit également de permettre le rétablissement d'une fonction hormonale – enjeu très important pour les femmes – , et ce, indépendamment de tout souhait de procréation.
Votre amendement aurait pour effet de restreindre le champ de la mesure. Je vous suggère donc de le retirer ; sinon, avis défavorable.