Non ! Écoutez-moi jusqu'au bout, mes chers collègues ! Il ne s'agit pas de remettre en cause la démarche mais de constater que, sitôt qu'une mission nous semble importante, nous créons une instance ou une délégation parlementaire alors même que nous disposons déjà, au sein de notre institution, de structures susceptibles de satisfaire le besoin identifié à juste titre. La cohérence de notre travail s'en trouve amoindrie, notamment parce qu'il faut s'assurer d'une éventuelle coordination – que nous espérons la meilleure – avec les instances existantes.
Nous empilons les structures. Je sais que cela s'inscrit dans notre culture française, mais c'est dommage. L'OPECST est tout à fait en mesure d'assurer la mission envisagée, à condition de lui en donner les moyens.