Pour le principe, je voudrais que l'on entende dans l'hémicycle une opposition formelle à la présence des religieux, fût-ce à titre consultatif.
Que des parlementaires ou des personnalités soient influencées ou construites par un point de vue religieux, je n'ai rien à dire contre ; chacun se construit à sa façon et se réfère à ce qui lui paraît important. En revanche, il est totalement incongru en République que les religieux participent, en tant que religieux, c'est-à-dire en tant que représentants d'un dogme, à une discussion qui touche à l'intérêt général.