Ce n'est pas une question de médecins ou de chercheurs, ni même de bioéthiciens ; c'est une question de citoyens. Et ces citoyens qui, partout sur le territoire français, ont l'appétit de réfléchir à l'évolution progressive de notre société, attendent avec impatience un rythme plus court, plus régulier, mieux organisé. C'est ce qui induit cette logique et cette cohérence.
Je le dis pour rassurer M. Bazin : une révision tous les cinq ans n'aura pas pour conséquence d'ouvrir trop de portes.