Encore une fois, toutes ces demandes de rapport figurant après l'article 32 auraient dû être présentées ailleurs. Faisons attention : tout ceci doit avoir un sens. Il est regrettable que toutes ces demandes de rapport s'accumulent à ce moment du débat : placés au bon endroit, ces amendements auraient profondément modifié les débats des trois dernières semaines. En fin de texte, il est vrai que cela n'a ni queue ni tête. Espérons qu'à l'avenir, les demandes de rapport, qui ne sont que le dernier outil législatif dont nous disposons parce que l'article 40 nous interdit d'engager la moindre dépense, seront placées au bon endroit pour permettre au débat dans l'hémicycle d'être serein.