Notre proposition de loi fait du maintien de la victime dans le logement et de l'éloignement du violent la règle. Si le juge le décide, l'auteur des violences continuera à assumer les charges financières du logement. Aujourd'hui, ce sont les femmes qui subissent les loyers impayés, les poursuites d'huissiers, les dossiers de surendettement.