Avant de filer à mon tour la métaphore canine, je voudrais remercier madame Magnier car je trouve sa proposition intéressante ; je l'invite à ce que nous en parlions ensemble. En effet, avec plusieurs collègues de la majorité, nous avons commencé à faire ce travail niche par niche. Toutefois, et malgré les vingt-six ans d'expertise de monsieur de Courson, je précise que nous souhaitons faire exactement l'inverse de ce qu'il disait : nous ne voulons absolument pas, fût-ce à hauteur de 1 %, enclencher une dynamique de rabot. Nous pensons que, dans le cadre de la transformation publique, dont on sait combien il est difficile de la mener, il faut procéder secteur par secteur, niche par niche. C'est le travail que nous faisons, que j'ai fait personnellement – j'aurai plaisir à en reparler. J'ai croisé bon nombre de chiens, et certains n'ont pas fait que me mordre. Il est important que nous abordions de nouveau la question ; le rabot ne mène qu'à la meute… Je pense que nous pouvons faire le travail en l'abordant sous l'angle qualitatif, ensemble, et en nous appuyant sur l'expertise de certains membres, comme monsieur de Courson.