J'ai donné, par avance, les arguments pour lesquels je serai défavorable aux amendements de suppression. Madame Rubin, je n'ai pas très bien compris votre raisonnement : je n'ai pas l'impression que l'on soit très fortuné dès la deuxième tranche, à 30 %. J'ai déjà expliqué tout à l'heure pourquoi notre réforme était redistributive et qu'en supprimant l'article 2 vous supprimiez également la revalorisation des tranches de l'impôt et des montants relatifs au plafonnement des effets du quotient familial.
Monsieur de Courson, les questions que vous avez posées, nous nous les sommes également posées. Nous y répondrons dans le rapport.