J'ai entendu les arguments de monsieur le rapporteur général, dont je partage globalement l'idée. Mais, dans le contexte actuel – pensez à ce qui s'est passé la semaine dernière –, ce serait un acte politique fort en faveur des effectifs du ministère de l'intérieur que de défiscaliser les heures supplémentaires accumulées, quelle qu'en soit la raison, par les policiers et que le ministère de l'intérieur s'apprête à leur payer ou à compenser.