Je voudrais tout de même rappeler que les ventes immobilières sont soumises à des droits d'enregistrement, qui sont proportionnels à leur montant. On observe d'ailleurs que les ventes immobilières les plus importantes ont beaucoup contribué à la hausse de leur rendement.
Quant à la notion de biens immobiliers de luxe, n'étant pas Parisien, je peux en parler librement. Il me semble que le prix d'un appartement d'au moins 100 mètres carrés atteint, dans l'ensemble de Paris, justement un million d'euros. Vous définissez donc le luxe, monsieur Coquerel, par un barème qui, vu les prix malheureusement très élevés du marché, commence trop bas. Avis défavorable.