Je partage l'analyse de M. Jean-Marie Sermier s'agissant de l'écologie punitive. Il aurait été plus judicieux d'aider le secteur du BTP à trouver des énergies de substitution et à développer des véhicules plus propres. Il s'agit d'entreprises spécialisées : les véhicules ne sont pas utilisés au quotidien et en permanence ; ils ne font pas des centaines de kilomètres par jour. Et puis, où va aller cette recette supplémentaire de TICPE : dans le budget général de l'État pour financer son déficit ou dans la transition énergétique ? C'est toujours la même question qui revient à chaque nouvelle hausse des recettes de la TICPE.