Le financement des infrastructures est programmé sur plusieurs années. Il n'est pas nécessaire, pour le garantir, de prévoir de lui affecter un complément, d'ailleurs aléatoire, issu de la taxe sur les billets d'avion. Il est préférable que le surplus de la taxe, s'il existe, soit affecté au budget annexe « Contrôle et exploitation aériens », afin notamment d'en rembourser la dette. C'est la raison pour laquelle j'émets un avis défavorable.