De retour de réunions publiques dans ma circonscription, hier et avant-hier, je crois que les Français de l'étranger n'ont rien contre l'idée de participer à un impôt en France quand les raisons sont bonnes. Ce qu'il faut étudier, madame la ministre, c'est l'ensemble des situations bizarres ou étranges.
Enfin, il ne faut pas confondre les Français établis à l'étranger qui touchent de petits revenus, tels les instituteurs, et ceux qui possèdent énormément d'appartements – souvent le cas de ceux qui ont passé longtemps à l'étranger. Ceux-ci n'ont rien contre le fait de participer à l'effort de solidarité nationale.