Ma question porte sur une dépense très dynamique, aux perspectives inquiétantes malgré tous les efforts des collectivités, principalement les départements : la prise en charge des mineurs non accompagnés.
Le Gouvernement et le Président de la République ont reconnu l'inefficacité de leur loi « asile et immigration ». La vague migratoire est hors de contrôle, et chaque mineur non accompagné représente une charge supplémentaire de 50 000 euros. Les départements pourront-ils boucler leur budget dans une telle situation ? Faudrait-il que l'État prenne enfin ses responsabilités du point de vue financier, à tout le moins du point de vue migratoire ?