Monsieur le rapporteur général, cher Joël, ce fut un vrai plaisir de travailler avec vous. J'espère que nous continuerons dans un autre cadre.
Alors que le projet de loi de finances que nous nous apprêtons à examiner ouvre la troisième année budgétaire du quinquennat, je voudrais citer la traduction française d'une phrase prononcée il y a deux cent cinquante ans par Thomas Jefferson : « sans représentation démocratique, pas d'impôt ».