Monsieur le secrétaire d'État, il me reste suffisamment de temps de parole pour vous poser à nouveau la question des moyens que vous comptez débloquer, à laquelle vous n'avez pas répondu.
Fort heureusement, les sapeurs-pompiers, face à l'urgence, ne réagissent pas comme le Gouvernement, qui se contente de dire « On verra, on prendra le temps, on fera des concertations » ! Il y a urgence !
La situation que vivent les sapeurs-pompiers a amené la grande majorité d'entre eux à descendre dans la rue. Ils sont également reçus à l'Assemblée nationale par plusieurs groupes. Je tiens à saluer leur mobilisation.