J'entends la colère des salariés et je peux la comprendre, mais je veux dire que leurs représentants ont, avec notre soutien, et avec détermination et responsabilité, fait bouger les lignes, et qu'un accord est à portée de main, à condition que tout le monde soit autour de la table des négociations et que la diminution du plan que nous poussons soit obtenue.
Quant à Alstom, l'accord de 2014 ne concernait pas ce site, qui se trouve dans les mains de General Electric depuis 1999. C'est précisément cet accord qui nous donne aujourd'hui un angle d'attaque pour renégocier avec General Electric.