Il s'agit effectivement de porter le suramortissement à 60 % pour les petites et moyennes entreprises. Contrairement aux établissements de taille intermédiaire, les PME et TPE ont une surface financière réduite et sont donc plus fortement affectées par l'évolution du régime du gazole non routier. C'est pourquoi il vous est proposé, lorsque ces entreprises acquièrent des véhicules de remplacement – et c'est bien le but recherché – , de porter le suramortissement à 60 %, contre 40 % dans la rédaction actuelle.