Je pense qu'en début de quinquennat, la priorité est bien de mettre cette question sur la table, car à force de se masquer la réalité, nous en arrivons à une forme de brutalité. Or la transition énergétique ne pourra se faire ni dans la brutalité ni dans l'improvisation.
Je vous rejoins sur un point, monsieur le député : fermer Fessenheim, ce n'est pas une stratégie, ce n'est pas une politique.