Je souscris totalement aux propos de M. de Courson. J'ajouterai cependant qu'il existe une troisième possibilité que vous n'envisagez jamais, mes chers collègues : il faudra bien, un jour, baisser la dépense publique ! Nous assumons de proposer régulièrement un plafonnement du cumul des aides sociales.