On voit bien que, chaque année, le malus augmente… Cela pose des questions. Bien sûr, il faut financer la transition écologique, mais probablement pas de cette manière ! Je disais tout à l'heure que la première des libertés, c'est la mobilité : cela ne veut pas dire la mobilité n'importe comment, bien sûr. Mais la liberté de se déplacer est aujourd'hui directement indexée sur le revenu. Si vos revenus sont confortables, vous pouvez vous payer tous les malus de la terre, et débourser 10 % ou 15 % de plus sur les billets d'avion. Sinon, ce n'est pas possible.
La liberté de se mouvoir ne peut pas dépendre seulement des revenus.