Monsieur le rapporteur général, nous avons déjà eu cette discussion en commission. Mes amendements présentaient un problème rédactionnel et vous m'aviez conseillé de me tourner vers vos services. C'est ce que nous avons fait immédiatement, mais sans recevoir de réponse.
Sur le fond, il est facile de refuser sans argumenter, mais nous posons un problème fondamental. Je sais que vous êtes prisonnier du rôle : vous savez que nous avons raison sur le fond, mais vous ne pouvez pas nous le dire ! Je comprends, mais pour autant, il ne suffit pas dire : « refusé, au revoir et merci ! »
L'adaptation de la fiscalité est un problème sérieux qu'il faut examiner de manière approfondie afin de favoriser le développement de la Corse – c'est un objectif d'intérêt général, cela ne concerne pas seulement les Corses. Il ne suffit pas de répondre « refusé », il faut aller bien au-delà.