Par ailleurs, il faut aussi s'assurer que l'ensemble de la filière est réellement favorable au maintien de cette taxe : l'an dernier, s'agissant de la taxe farine, on me disait que les professionnels souhaitaient la conserver, mais j'en avais rencontré beaucoup qui souhaitaient la supprimer ! Il convient donc de se méfier lorsque certains s'expriment au nom d'une filière dans son ensemble.
Tant que le budget de l'INAO est maintenu à l'euro près, comme l'engagement en est pris, et sachant que la qualité de cette structure, ce qui est au fond le plus important, n'a pas de lien avec le maintien de cette taxe, je ne comprends pas pourquoi certains s'opposent à cette suppression.