Sur le cadre financier pluriannuel, je maintiens l'analyse établie avec M. Christophe Jerretie, à savoir qu'on assiste au triomphe de la miniaturisation : toutes les priorités sont les bonnes, mais réduites à une forme très insuffisante. Cela est dû au caractère trop restreint du cadre financier pluriannuel, et je ne cesse de m'étonner d'entendre nos collègues demander à la fois beaucoup plus à l'Europe, tout en souhaitant donner beaucoup moins à son budget ! Dans ce cadre étriqué, on ne peut que faire de la figuration intelligente, et encore si on est en forme !