Ceux que nous avons connus au début de la période 2014-2020 se sont révélés extrêmement fâcheux. Ils nous sont préjudiciables dans la négociation : comment puis-je justifier que nous avons besoin de poursuivre des politiques européennes quand je ne peux pas montrer que des projets ont été menés à bien, ni que les fonds ont été consommés ? Mes collègues me disent qu'on pourrait bien couper un quart de l'enveloppe française, puisque nous n'en consommons jamais plus de la moitié ! Et il faut bien reconnaître qu'ils n'ont pas complètement tort.