Vous voyez, chers collègues, c'est là qu'il faut se lever pour rendre hommage au courage et à la responsabilité de nos concitoyens.
Monsieur le Premier ministre, l'événement n'était-il pas assez grave et les conditions suffisantes pour que les cheminots de France fassent valoir leur droit de retrait, au nom de la sécurité de nos concitoyens et de nos concitoyennes ?