Votre conseiller est aussi sous le coup d'une enquête pour travail fantôme à Saint-Marin, pour un contrat rémunéré 200 000 euros auprès d'une banque de ce paradis fiscal. Candidat de La République en marche aux élections européennes, il sera député européen après le Brexit.
Monsieur le Premier ministre, pour qui travaille réellement votre conseiller ? Pour lui-même, pour la France, pour Malte, pour l'Italie ? Pouvez-vous nous garantir qu'il n'a jamais utilisé au profit d'un autre gouvernement une information qu'il aurait eu à connaître à Matignon ?
Votre conseiller affirme que vous étiez au courant de ses missions de consultant auprès du Premier ministre maltais au moment de son embauche au sein de votre cabinet.