C'est la raison pour laquelle nous continuerons de travailler dans cette direction. Il faut d'abord expliquer que les agriculteurs font un travail remarquable : la transition agroécologique est en marche, les mutations en agriculture biologique n'ont jamais été aussi nombreuses – 6 000 cette année : elle représente désormais 10 % des agriculteurs. Parallèlement, nous allons sortir l'arrêté, pris à la demande du Conseil d'État, sur les zones de non-traitement, en nous appuyant sur la science.