Si nous voulons lutter contre l'agribashing, il faut le faire non pas en partant dans une course à l'échalote vers l'obscurantisme, mais en s'appuyant sur la rationalité, sur la science. Lorsque l'ANSES – Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail – donne un avis, soit on l'écoute, soit on n'a pas confiance dans la science. J'ai confiance dans la science. Nous travaillerons dans cette direction.