Monsieur le président Chassaigne, je réponds avec plaisir à votre question qui évoque la situation des agriculteurs français.
Nous pouvons nous entendre sur un grand nombre d'intentions – pas sur toutes : encore faut-il obtenir des résultats. Vous avez évoqué la question de l'augmentation du revenu des agriculteurs, lié à leur travail. Nous le savons tous, les agriculteurs souhaitent obtenir une revalorisation de leur revenu grâce à leur travail et non grâce à des subventions.
Nous essayons de l'obtenir en transformant la façon dont le prix est construit et en pesant de toute la force possible sur les grands consommateurs, les transformateurs, l'industrie, les acheteurs.