Vous-même le savez bien, qui vous y êtes rendu fin décembre 2018 pour une visite lors de laquelle vous avez rencontré les différentes parties prenantes de la démocratie chilienne.
Vous l'avez évoqué, le Chili traverse aujourd'hui une grave crise, parfois dramatique ; les autorités chiliennes – le président Piñera lui-même – ont annoncé, vendredi dernier, les réponses jugées adaptées à la situation politique et sécuritaire du Chili. Bien qu'elle regrette les violences intervenues, qui ont donné lieu à un bilan humain particulièrement lourd, la France n'a pas à commenter la nature de cette réponse, que chacun souhaite évidemment proportionnée et adaptée aux aspirations des citoyens chiliens.
Cela étant, je ne fais pas de lien entre cette crise et la participation de la France à la COP25.