Tout cela confirme, au passage, que le prélèvement à la source a permis d'augmenter les recettes des impôts de plusieurs milliards d'euros sur le dos des Français ! On comprend mieux pourquoi le Gouvernement y était si favorable.
Je ne pourrais terminer sans évoquer la soi-disant grande réforme de la fiscalité locale que vous nous vantez et qui constitue en réalité une nationalisation des impôts locaux.
Vous l'avez compris, monsieur le ministre de l'action et des comptes publics, monsieur le secrétaire d'État Olivier Dussopt, madame la secrétaire d'État Pannier-Runacher, chers collègues de la majorité : notre groupe ne votera pas ce budget.