Notre position a été très bien défendue par M. le rapporteur général. Une prime exceptionnelle doit rester exceptionnelle ; il s'agit cette année d'en faire un levier pour accélérer la conclusion de ces accords, qui permettront de mieux intéresser les salariés à la bonne santé de l'entreprise. L'année prochaine, prime exceptionnelle ; l'année suivante, accord d'intéressement.
Vous l'avez dit, monsieur Benoit : les petites entreprises doivent être accompagnées.