Au risque de me répéter, je m'interroge, moi, sur la réalité de la hausse du pouvoir d'achat apportée par cette prime, compte tenu de la concomitance constatée par l'ACOSS entre la création de cette prime exceptionnelle et la contraction de la masse salariale au premier trimestre de 2009. Le rapporteur général était présent lorsque le président de l'ACOSS a été entendu par la commission : celui-ci n'a pas dit autre chose. J'aimerais donc que l'on se pose la question de savoir si, en réalité, nous ne sommes pas en train d'arroser le sable.