La santé publique est évidemment au centre de nos préoccupations, mais je répète que cet amendement, outre le fait qu'il coûterait 500 millions d'euros et ainsi dégraderait gravement le déficit de la sécurité sociale, provoquerait une véritable rupture d'égalité : il ne profiterait en effet qu'aux salariés des grands groupes, qui ont déjà les moyens de rembourser les frais de transports publics à hauteur de 50 %, et dans les territoires qui bénéficient de transports publics.
L'adoption d'un tel amendement n'aurait pas de conséquence sur l'offre de transports publics.