Cela ne me fait pas rire, monsieur Véran, car la situation est grave. Nous avons eu l'occasion de le dire au cours des dernières années – et nous le dirons très fort cette année – : nous faisons face à une urgence. Mon amendement vise donc à fixer le seuil de déclenchement de la clause de sauvegarde à 1,023 fois le chiffre d'affaires de l'industrie pharmaceutique de l'année précédente, et non pas à 1,005 fois comme vous le proposez. De cette manière, nous alignerions le taux M sur celui retenu pour l'objectif national de dépenses d'assurance maladie – ONDAM.