Je maintiens mon amendement, pour l'histoire. Je vous remercie, madame la ministre, d'avoir renouvelé votre désir d'engagement en faveur des outre-mer. Vous avez sans doute la malchance de supporter un fardeau qui n'est pas le vôtre, mais les efforts consentis n'ont fait que compenser le très lourd retard que nous avons accumulé pendant des décennies. Ce n'est pas votre faute si ce retard a été constaté et s'il a fallu y apporter quelques éléments de réponse.
J'y insiste : il est presque trop tard pour agir, et le délai d'un an que nous nous sommes fixé pour la remise du rapport est excessif. J'aurais aimé que l'on soit plus conséquent et que l'on fasse confiance à nos populations respectives.