Monsieur le rapporteur général, ma question est toute simple : pourquoi ? Votre argument n'est pas suffisamment approfondi pour me convaincre. Pourquoi l'État ne choisirait-il pas de conforter les outils publics dont il se dote, de les mettre à niveau ? Ce devrait être sa priorité ! Il me semble qu'il y a, de manière générale, une insuffisance de service public dans notre pays. En l'occurrence, c'est le cas dans le domaine de la psychiatrie.
Il n'est pas illégitime d'accorder une priorité aux outils qui nous sont communs et qui n'appartiennent à personne d'autre !