Monsieur Dharréville, le programme public de fabrication de médicaments essentiels auquel vous faites référence fait l'objet d'une mission, qui est en cours. S'agissant de l'individualisation des médicaments, vous avez raison, et nous travaillons sur ce point avec les préparateurs.
Pour ce qui est des stocks, je confirme qu'ils sont tournants : il ne s'agit pas de conserver des médicaments dans un hangar et de n'y toucher qu'en cas de besoin, mais de disposer d'un stock permettant d'anticiper des besoins et pouvant être renouvelé, afin d'éviter les ruptures. Enfin, les modalités du stockage seront définies dans le décret auquel nous travaillons actuellement et qui fera l'objet d'une concertation avec l'ensemble des parties prenantes.
Avis défavorable sur les amendements.