Même avis. La Haute Autorité de santé a été plusieurs fois saisie de l'intérêt qu'il y aurait à dépister le cancer bronchopulmonaire avec les techniques dont nous disposons actuellement. Son avis a toujours été défavorable, en raison du trop grand nombre de faux positifs. La HAS réexamine cependant régulièrement l'intérêt d'un tel dépistage. Il s'agit donc d'une question d'ordre scientifique, non d'un problème de financement.