Vous avez raison, Monsieur le Président, le problème concerne les petits producteurs. C'est le problème de l'histoire de ces territoires et de la façon dont on fait l'agriculture vivrière, la vente directe au bord de la route… Le petit producteur ne peut pas être en plus celui qui va être obligé de payer des choses alors qu'il n'a pas les moyens de le faire ou en partie. C'est pour cela qu'il faudrait regarder la possibilité, peut-être à travers le fonds européen agricole pour le développement rural (FEADER), de le financer. Or vous pensez bien que ce matin, dans l'état actuel des choses, je ne peux pas répondre en évoquant la gratuité.