C'est votre affirmation, Madame la députée. Il faut du temps pour les analyses. Je pense que lorsque les analyses sont enclenchées, lorsqu'on est dans le flux, il n'y a pas de raison qu'il y ait un décalage, on peut y arriver. N'étant pas technicien, j'ignore s'il est impossible d'arriver au zéro chlordécone mais l'engagement politique que je prends et les orientations politiques que je donne visent au zéro chlordécone, ce qui est absolument indispensable.
En outre, nous travaillons sur la possibilité que les études puissent être faites sur place. Envoyer des études et attendre qu'elles reviennent prend du temps. Si nous voulons accélérer le processus, il faudrait pouvoir mettre un système en place afin que les analyses puissent être réalisées sur place. Vous avez toutes les qualités, toutes les possibilités de le faire.